Persicalli participa aux principales expositions de l’époque, parmi lesquelles Exposition International des Arts Decoratifs et Industriels Modernes, qui s’est tenue à Paris en 1925. Il resta pourtant dans l’ombre pendant près d’un siècle.
Le catalogue publié par la galerie représenta une étude pionnière, principalement centrée sur les 78 oeuvres exposées. Elles donnèrent lieu à une analyse du contexte dans lequel elles furent réalisées, aussi bien du point de vue biographique que de celui, plus intéressant, de leur repertoire iconograpque de référence.
Le curateur Mario Finazzi enrichit le volume d’une section particulière dans laquelle furent reproduits et traduits, lorsqu’ils étaient rédigés en langue étrangère, des textes publiés à l’époque sur Piero Persicalli. Ils permirent de restituer la perception que les experts de l’époque eurent de son oeuvre.
Au cours des deux dernières années l’artiste a connu un regain d’intéret et son oeuvre a fait l’objet d’expositions à caractère muséal (rappelons ll Déco in Italia, l’eleganza della modernità, dont le curateur fut Francesco Parisi, Fort de Bard, Aoste, 2022-2023).
Du point de vue du marché de l’Art, certaines de ses oeuvres ont été présentées à des foires internationales comme la TEFAF (Maastricht), et BIAF (Florence).